vendredi 30 mars 2018

LE GARCON QUI COURAIT : pourquoi ce livre m'a plu


Ce que j’aime bien, c’est qu’au début c’est une histoire de famille, il commence à se débrouiller tout seul pour son avenir, il deviendra champion olympique et il se battra pour son pays. En effet le Japon a envahi la Corée et Sohn Kee-Chung veut que la Corée redevienne libre. Il prend de la distance avec les Japonais en étant au Japon. Sohn Kee-chung ne s’arrête plus de courir, il veut montrer son talent devant les Japonais les ennemis de son peuple. Il est courageux car il subit et surmonte l’humiliation que lui infligent les Japonais.


Ce que je n’aime pas, c’est les prénoms, car on a du mal à retenir qui est qui vu qu’ils se ressemblent. Et je n’aime pas car ça parle trop de sport.

Inesse

lundi 12 mars 2018

Lucky rêveur, une suite proposée par Jeanne !

Lucky rêveur (suite de Lucky Losers)

Après mes vacances d’été passés avec mes amis de Londres et Camille ; mon père et moi sommes rentrés à Douarnenez. J’ai retrouvé Antoine, on est allé manger une crêpe à « La Dentelle », il m’a raconté son mois de juillet sublime aux Baléares avec Léa : grand soleil, l’océan turquoise… J’ai fini par appeler Kevin et Rémy qui sont arrivés en un coup de sifflet accompagné par Sarah, qui devient de plus en plus belle. A cinq heures, j’ai rejoint mon père, il m’avait dit qu’il avait une surprise à montrer, une surprise venant de mon père, je pouvais m’attendre à tout. Sur le chemin de l’endroit où il m’avait donné rendez-vous, j’essayais de deviner de quoi il s’agissait. J’ai pensé à un animal de compagnie, seulement mon père et moi-même étions allergiques aux poils de chat, mon père éternuait sans cesse, quant à moi cela m’ôtait la voix. Je n’avais donc aucune idée de ce que cela pouvait bien être. Au bout d’une rue, j’aperçus Eléonore D’Arincourt, j’ai pressé le pas pour enfin apercevoir mon père. Cela ne me dérangeait plus du tout de les voir ensemble. Quand je suis arrivé auprès de mon père, il affichait un grand sourire, il me faisait découvrir en avant première son tout premier atelier-galerie pour son art de la peinture. Il m’expliqua avec la visite détaillée des locaux qu’Eléonore lui avait avancé de l’argent contre ses futures œuvres pour payer le loyer. Mon père allait enfin pouvoir faire ce qu’il aimait, tout en gagnant de quoi vivre même bien plus. J’étais si heureux pour lui, le monde allait enfin voir son talent. Pour l’achat des meubles et du matériel il avait vendu notre petit appartement. Avec les bénéfices de ses œuvres peintes, il nous a acheté une petite maison en campagne avec un jardin potager nettement moins cher qu’un duplex en ville. J’étais tellement aux anges : mon père, mes copains, Camille… que j’ai fini par oublier ce que j’allais faire cette année. Je me suis inscrit dans un nouveau lycée qui m’a accepté tout de suite, je ne sais pas si c’est grâce à mes notes ou à mon occupation dans les journaux il y a quelques mois… je me suis plus investi dans le travail pour des notes de bac pas si mauvaises. J’ai appelé Camille un soir, elle me manquait… elle et sa mère étaient restés à Londres pour que Camille puisse avoir des études supérieures de qualité et Eléonore voulait développer l’entreprise, elle avait eu quelques contacts sur Londres grâce aux nombreuses connaissances de mon père. J’allais rejoindre Camille sur Londres une fois par mois, seulement, les billets de bateaux dépassaient les offres des bourses de mon lycée, et je ne voulais pas l’argent des D’Arincourt. Je voyais Sarah parfois mais en tant qu’amie proche, elle voulait plus mais je m’étais trop attaché à ma belle Camille. Mes copains, ceux qui avaient gagné le défi, ont continué à progresser dans leur sport. Kevin a fait des progrès en natation, il ne coule plus ! Rémy et Durandal font davantage de concours et finissent à la première place, et Antoine a mis toutes ses économies pour racheter un skiff. Cette expérience leur a permis de trouver leur voie. Moi, je n’ai toujours pas trouvé, Toujours pas d’idée, ça me semble logique puisque je n’ai pas participé aux jeux. Camille a pourtant essayé de m’initier à la danse… Je préférais être assis seul dans ma chambre à jouer de la guitare. J’avais le meilleur père au monde, le plus doué, de vrais amis, toujours là pour moi, une copine qui deviendrait ma femme, une mère soucieuse de moi, une petite sœur et une vie aisée, la chose que je n’avais toujours pas c’était de l’ambition, le cran de réussir… Peut-être que la vie m’y forcerait !

FIN

Jeanne