mardi 30 janvier 2018

Rage de Lucas

RAGE !

Titre : Rage
Auteur : Orianne Charpentier
Édition : Gallimard jeunesse
Collection : Scripto
Date de parution : 16 Mars 2017
103 pages
Roman jeunesse sur l'immigration, la guerre, les conflits, les réfugiés et l'amitié.

-Biographie-

Orianne Charpentier est une journaliste et auteur française, elle est née en 1974 à Saïgon pendant la guerre du Vietnam. Elle passe son enfance au Maroc puis dans un petit village de Normandie.

Après des études de lettres, elle fait une école de journalisme.

Diplômée en 1996 du centre de formation des journalistes à Paris. Depuis, elle collabore à des magazines culturels destinés à la jeunesse.

«Rage» est son 6 ème roman .

Ses autres romans:
. Après la vague (2014)
. La vie au bout des doigts(2014)
. Mauvaise graine(2010)
. La petite capuche rouge (2008)
. Madame gargouille(2006)

-Résumé-

L'histoire se passe en une nuit.
C'est une jeune fille qui a fui son pays en guerre. Arrivée en France, Rage essaye de reconstruire sa vie, elle se lie d'amitié avec Artémis qui l'appelle ainsi .
Lors d'une soirée chez Jean, Rage entend du bruit et aperçoit un chien de combat blessé qui a été mal traité. Avec l'aide de Jean qui est étudiant en droit, ils décident tous les deux de l'aider et l’emmènent chez le vétérinaire qui va l'opérer. Elle doit être euthanasiée à cause de la loi sur les chiens de combat. La chienne sera sauvée grâce à Jean qui va l'adopter et Rage pourra venir la voir quand elle veut.
De retour au petit matin, après une nuit chargée en émotion, Rage éprouve du bonheur au côté de Jean .

-Extrait-

« A présent qu'elle la caresse, Rage sent sa puissance:c'est un chien de combat, sans nul doute possible. Un animal dressé et entraîné à l'attaque .
Mais bizarrement, Rage n'a pas peur. Elle ne s'est même sentie aussi forte, aussi invincible. Cette bête blessée qu'elle accueille dans ses bras, c'est elle-même autrefois .
Elle lui ôte sa chaîne et la jette au loin » .

-Mon avis-

L'histoire est vraiment bien.
J'ai bien aimé ce livre car le sujet est d'actualité sur les réfugiés qui ont quitté leur pays en guerre et le roman est court, il se lit facilement.
Le roman est réaliste.
On peut dire que Rage et la chienne ont le même combat, elles doivent réapprendre à vivre et se faire accepter.

RAGE Orianne Charpentier















mercredi 24 janvier 2018

Notre lecture en un mot ... ou deux !

Lucky losers : 
  • à la hauteur de ses promesses
  • agréablement surprise
  • intéressant
Le garçon qui courait : 
  • émouvant
  • romancé
  • crescendo
Un détective très très très spécial :
  • singe (trop insistant)
  • inattendu
  • déçue "ils n'ont pas le droit"
  • fin géniale
Je suis ton soleil :
  • agréable mais prévisible
  • surpris
Rage :
  • décu
  • Waouh, talent fou !
  • génial
  • assez bien
  • positif


vendredi 19 janvier 2018

Pourquoi j'ai aimé Un détective très très très spécial ...

Ce livre m'a étonnée parce qu'au début on comprend très bien et au chapitre deux on est déstabilisé. Mais si  on continue, l'histoire nous captive. c'est au moment où Gaspard devient détective que l'histoire devient très très très spéciale ... 
Je n'ai pas aimé le moment où il découvre que tout ce qui s'est passé n'est que le fruit de son imagination et qu'en fait, il est dans le centre depuis toujours et qu'il n'a rien vécu de tout cela. C'est aussi un moment triste parce que cela m'a fait de la peine d'apprendre qu'il a toujours été enfermé dans un hôpital pour les gens comme lui, qu'il n'a jamais découvert la vie, qu'il n'est jamais sorti de ces quatre murs, que ses parents ne se sont jamais occupés de lui.
On peut s'identifier à Gaspard parce qu'on s'imagine ce qu'il ressent, le désespoir et la tristesse, il se dit qu'il avait tout faux et qu'il doit sans cesse réapprendre à vivre...

Kendra, 1GA

mardi 16 janvier 2018

L'enfant qui courait... au pas de course.... Armand.

Le garçon qui courait

En 1919, un petit garçon appelé Kee-Chung vivait en Corée. A cette époque, son pays était annexé par le Japon. Pour aider sa famille, il devait se rendre en Chine tous les matins en courant et il faisait des compétitions de course à l’école. C’est à ce moment qu’il découvrit son don pour la course. En 1936, il fit ses premiers J.O à Berlin et il gagna le marathon. Pourtant lorsqu’il fut sur le podium, il n’affirma pas sa joie d’être le vainqueur car il portait le maillot japonais. 

Dix ans passèrent sans voir sa famille, il se maria avec Hee-Won son amie d’enfance et une guerre éclata entre l’Asie et l’Amérique : Kee-Chung fut entraîneur, aux J.O. Alors que son élève était en tête de la course, il chuta juste avant l’arrivée et ne gagna pas. Kee-Chung se rattrapa aux J.O de Barcelone où un Coréen remporta le marathon grâce à son aide. Enfin, la Corée était revenue dans la course avec son drapeau à l'honneur ! 

Le 19 Novembre 2002, Kee-Chung mourut et rejoignit Hee-won au ciel. 

Armand

Lettre de Mathilde à Madame Pavlenko...

Madame PAVLENKO,

J'ai littéralement adoré lire votre livre, j'ai dévoré ce livre dont je suis fan.

Les péripéties de Déborrah, m'ont fait autant rire que pleurer, les rebondissements de ce livre sont incroyables. Les titres sont bien trouvés.

Dès la couverture, j'ai voulu lire ce livre car les petites coquillettes, la couleur de la couverture donnent envie et je suppose que « Je suis ton soleil » et en rapport avec la couleur du soleil.

Le livre est émouvant, Déborrah est elle-même émouvante, le mystère est toujours présent surtout concernant sa mère : je me suis posée des questions la concernant pendant tout le livre. Ce livre est vraiment réel et décrit la réalité telle qu'elle est.


vendredi 12 janvier 2018

Le chien de la honte???

J’ai choisi cette couverture pour « Je suis ton soleil » puisque je trouve qu’Isidore, le chien de Déborah (personnage principale), est aussi un peu le soleil de cette dernière. Je trouve que ce chien prend également bien sa place dans le livre. Elle l’appelle « Chien de la honte » à cause de sa carrure mais au final il est toujours avec elle et ne lui fait pas si honte que ça. Je trouvais qu’il avait complètement sa place en première de couverture. Il représente tout à fait «le chien fidèle» dont Déborah a besoin même si au début elle le rejette.      

Jeanne.


Pourquoi je n'ai pas aimé Je suis ton soleil...

Dès le début avant de commencer l'histoire j'étais assez intéressée par ce livre car il était facile à lire, donc je me suis dis qu'à force d’avancer dans la lecture ça finirait par me plonger dans l'histoire. Ça n'a pas pu être le cas, parce que ce genre de livre ne sort pas de l'ordinaire, ça n'a rien de surprenant, des histoires sur les jeunes lycéens, que ce soit dans les livres ou dans la vie courante on en rencontre partout. 
Des histoires qui comporte des problèmes de couple, d'amitié ou de famille on en entend souvent, soit les lecteurs ont du être confrontés à ce même type de problème. Ils auraient pu entendre parler chez leur amis ou leur proches. 

Je suis plus intéressée par les romans policiers américains, qui parlent de choses inhabituelles, inattendues, tout ce qui nous donne envie de continuer la lecture. Je trouve passionnant de s'imaginer dans une scène de crime à Las Vegas avec des agent du FBI des choses que l'on ne verra pas en France. Cela nous fait voyager quelque part.

Anna, 1GA