mercredi 24 mai 2017
Et le lauréat 2017 est...
Les élèves ont voté... et le Prix A-Fictionados 2017 a été remis à Patrick Bard pour "Et mes yeux se sont fermés" (éditions Syros).
vendredi 19 mai 2017
Merci Madame Leclerc !
Première question de l'interview: "Et vous Madame Leclerc, quels sont vos rêves?"
Bilan de l'entretien
Une auteure fort sympathique qui parle de son métier avec humilité et simplicité et dont le livre donne de l'espoir à tous les ados en crise mais aussi à ceux qui vont bien, bref à tous !
On vote pour vous!
Les amants du Génome - Bixente
Pour mon dessin, j'ai commencé par dessiner deux bâtiments correspondant aux appartements où ont vécu Irdiss et Orfée. J'ai donc dessiné l’appartement d'Irdiss (à gauche) riche et coloré de couleurs vives alors que celui d' Orfée pauvre avec des couleurs sombres.
J'ai représenté deux chemins, en forme de cœur , mais celui-ci est brisé par La SELECTION à laquelle Orfée et Irdiss ont participé et qui les a séparé. Le chemin d'Orfée arrive donc à l'Enclave, un dome avec plein de végétations.
J'ai aussi représenté la maison d'Orfée comme l'appartement d'Irdiss au début, pour montrer que les rôles se sont inversés.
Quant au chemin d'Irdiss, il rejoint l' UA31 elle vit donc dans le même bâtiment qu'Orfée au début, un bâtiment pauvre, pour encore une fois, montrer l'inversement des rôles.
Bixente
J'ai représenté deux chemins, en forme de cœur , mais celui-ci est brisé par La SELECTION à laquelle Orfée et Irdiss ont participé et qui les a séparé. Le chemin d'Orfée arrive donc à l'Enclave, un dome avec plein de végétations.
J'ai aussi représenté la maison d'Orfée comme l'appartement d'Irdiss au début, pour montrer que les rôles se sont inversés.
Quant au chemin d'Irdiss, il rejoint l' UA31 elle vit donc dans le même bâtiment qu'Orfée au début, un bâtiment pauvre, pour encore une fois, montrer l'inversement des rôles.
Bixente
Les amants du Génome - Romane
J'ai choisi cette première de couverture car elle représente bien le livre en faisant voir qu'Idriss vivait dans le luxe et qu'après la sélection elle devient pauvre. Orfée, lui, vit dans la misère et finalement, après la sélection, il devient riche.
Romane
Romane
Ces rêves étranges qui traversent mes nuits - Orlane
J'ai choisi de refaire la première de couverture car je trouvais que l'originale ne représentait pas forcément l'histoire.
J'ai donc fait un chemin de travers avec les différents obstacles que Robin a pu rencontrer pour ensuite arriver à la cinématographie qui est peut-être son avenir.
J'ai aussi changé le titre. Pour moi Ces rêves étranges qui traversent mes nuits ne donne pas forcément envie au lecteur de lire le livre. C'est pour cela que je l'ai remplacé par Chemin tortueux pour un ado esseulé car je pense que ce titre donne envie de découvrir l'histoire de l'adolescent.
Orlane
Ces rêves étranges qui traversent mes nuits - Audeline
J'ai choisi de représenter tous les endroits où Robin aime aller.
En grand sur la gauche on peut voir le Bosphore qui est le kebab de Bouboule où Robin passe beaucoup de temps. À l’intérieur, il y a un distributeur de coca-cola car c'et la boisson qu'a pris Turquoise (Ayda, la soeur de Bouboule) la première fois qu'ils se sont vus.
Ensuite, au fond du kebab, à droite, il y a une porte et c'est ici que Bouboule range le matériel électronique qu'il faisait vendre à Robin.
Tout en haut de la couverture, il y a un panneau "Biron", c'est dans cette rue que Robin vend le matériel et en bas, il y a un autre panneau où il y a d'inscrit "Dagobert". C'est là bas qu'il habite avec son père.
À droite de la couverture, on peut voir un cinéma. C'est l'endroit où Robin va avec ses amis. Il y a l'affiche "Le petit Poucet" car c'est ce film qu'il tourne avec des amis et ils aimeraient que celui-ci passe au cinéma. Au dessus, on peut apercevoir un panneau : "Marmouest". C'est ici qu'habitent Jujube et sa mère.
Il y a aussi "Le Paradis", un café où ils ont l'habitude de faire une pause avec leurs amis avant ou après qu'ils aillent au lycée (Robin n'y va plus).
J'ai choisi de garder les mêmes couleurs et la même écriture pour le titre et l'auteur.
Audeline
En grand sur la gauche on peut voir le Bosphore qui est le kebab de Bouboule où Robin passe beaucoup de temps. À l’intérieur, il y a un distributeur de coca-cola car c'et la boisson qu'a pris Turquoise (Ayda, la soeur de Bouboule) la première fois qu'ils se sont vus.
Ensuite, au fond du kebab, à droite, il y a une porte et c'est ici que Bouboule range le matériel électronique qu'il faisait vendre à Robin.
Tout en haut de la couverture, il y a un panneau "Biron", c'est dans cette rue que Robin vend le matériel et en bas, il y a un autre panneau où il y a d'inscrit "Dagobert". C'est là bas qu'il habite avec son père.
À droite de la couverture, on peut voir un cinéma. C'est l'endroit où Robin va avec ses amis. Il y a l'affiche "Le petit Poucet" car c'est ce film qu'il tourne avec des amis et ils aimeraient que celui-ci passe au cinéma. Au dessus, on peut apercevoir un panneau : "Marmouest". C'est ici qu'habitent Jujube et sa mère.
Il y a aussi "Le Paradis", un café où ils ont l'habitude de faire une pause avec leurs amis avant ou après qu'ils aillent au lycée (Robin n'y va plus).
J'ai choisi de garder les mêmes couleurs et la même écriture pour le titre et l'auteur.
Audeline
Et mes yeux se sont fermés : le casting du film !
Et si le livre était porté à l'écran ?
Les élèves du collège des Alpes Mancelles ont fait le casting.
Ils ne se refusent rien...
"Butineries"
Quelques citations relevées dans les trois romans et les trois recueils de nouvelles d'Hervé Giraud :
Le jour où on a retrouvé le soldat Botillon
« La guerre est une façon un peu différente de faire de la politique. C’est plus vivant, mais ça fait des morts. » (p.10)
« Des gradés entrent dans la grange, nous parlent sans ménagement. On est leurs chiens mais ce sont eux qui aboient ». (p,44)
« Je ne suis plus qu’une ombre. « Ombre », ça veut dire « Homme » en espagnol. En français ça ne veut rien dire. » (p.100)
Histoire du garçon qui courait après son chien qui courait après sa balle
« ...ils ont beau penser que je cumule tous les DYS (dyspraxique, dyslexique, dyscalculique, dys-faire-son-lit et dys-va-vider-le-lave-vaisselle), je n’ai rien de tout cela, je ne dis rien pour m’éviter des corvées... » (p.17)
« Ah bah oui, je me dis. Les imbéciles ont cet avantage de pouvoir dire des imbécillités sans avoir besoin de réfléchir avant. » (p.40)
« Je ne sais pas pourquoi les mômes gobent ces trucs débiles, pourquoi on ne leur dit pas tout de suite que la vie, c’est ça (elle fait un geste circulaire), que c’est moche. Pourquoi on ne leur dit pas que quand le mec qui est dans Mickey meurt, on le remplace par un autre ? […] Pourquoi on n’aménage pas mieux la vraie vie plutôt que de fabriquer des faux mondes merveilleux à côté ? » (p.112)
« Oui, il y a quelqu’un dans Mickey car le bonheur est une arnaque ». (p.119)
Prends ta pelle et ton seau et va jouer dans les sables mouvants
« On est dans un foyer de jeunes habitués à vivre chacun pour soi et on ne nous a pas réunis ici pour nous faire des petits bibis dans le cou pendant que l’on mange des pop-corns en regardant Disney Channel. On est des figurines de baby-foot, embrochés par une barre d’acier qui nous traverse les hanches. Privés d’enfance, de jouets, de parents pétris de désirs et de tendresse pour nous, on est alignés comme à la parade et on gesticule comme on peut dans la direction indiquée, mais rien à faire pour aller de l’avant. » (p.85)
« Un bénévole, c’est un retraité avec un look de chômeur, ou le contraire, et un prénom à la noix modifié en surnom ringard ». (p.88)
Ça me file le bourdon
« C’est le genre de journée où si on n’a pas des lunettes de soleil, on reste les yeux mi-clos et ça nous fait des têtes de Chinois. » (p. 11)
Pas folle la guêpe
« Plus il y a de monde autour d’un table, plus il y a d’amour, me dit-elle.
Je réponds :
- Plus il y a d’amour, plus c’est difficile de se faire entendre et moins on a de chance d’attraper le dernier surimi. » (p.27)
Quelle mouche nous pique ?
Le jour où on a retrouvé le soldat Botillon
« La guerre est une façon un peu différente de faire de la politique. C’est plus vivant, mais ça fait des morts. » (p.10)
« Des gradés entrent dans la grange, nous parlent sans ménagement. On est leurs chiens mais ce sont eux qui aboient ». (p,44)
« Je ne suis plus qu’une ombre. « Ombre », ça veut dire « Homme » en espagnol. En français ça ne veut rien dire. » (p.100)
Histoire du garçon qui courait après son chien qui courait après sa balle
« ...ils ont beau penser que je cumule tous les DYS (dyspraxique, dyslexique, dyscalculique, dys-faire-son-lit et dys-va-vider-le-lave-vaisselle), je n’ai rien de tout cela, je ne dis rien pour m’éviter des corvées... » (p.17)
« Ah bah oui, je me dis. Les imbéciles ont cet avantage de pouvoir dire des imbécillités sans avoir besoin de réfléchir avant. » (p.40)
« Je ne sais pas pourquoi les mômes gobent ces trucs débiles, pourquoi on ne leur dit pas tout de suite que la vie, c’est ça (elle fait un geste circulaire), que c’est moche. Pourquoi on ne leur dit pas que quand le mec qui est dans Mickey meurt, on le remplace par un autre ? […] Pourquoi on n’aménage pas mieux la vraie vie plutôt que de fabriquer des faux mondes merveilleux à côté ? » (p.112)
« Oui, il y a quelqu’un dans Mickey car le bonheur est une arnaque ». (p.119)
Prends ta pelle et ton seau et va jouer dans les sables mouvants
« On est dans un foyer de jeunes habitués à vivre chacun pour soi et on ne nous a pas réunis ici pour nous faire des petits bibis dans le cou pendant que l’on mange des pop-corns en regardant Disney Channel. On est des figurines de baby-foot, embrochés par une barre d’acier qui nous traverse les hanches. Privés d’enfance, de jouets, de parents pétris de désirs et de tendresse pour nous, on est alignés comme à la parade et on gesticule comme on peut dans la direction indiquée, mais rien à faire pour aller de l’avant. » (p.85)
« Un bénévole, c’est un retraité avec un look de chômeur, ou le contraire, et un prénom à la noix modifié en surnom ringard ». (p.88)
Ça me file le bourdon
« C’est le genre de journée où si on n’a pas des lunettes de soleil, on reste les yeux mi-clos et ça nous fait des têtes de Chinois. » (p. 11)
Pas folle la guêpe
« Plus il y a de monde autour d’un table, plus il y a d’amour, me dit-elle.
Je réponds :
- Plus il y a d’amour, plus c’est difficile de se faire entendre et moins on a de chance d’attraper le dernier surimi. » (p.27)
Quelle mouche nous pique ?
« Les boums c’est vraiment un truc de naze, surtout pour ceux qui ne sont pas invités. » (p. 9)
« Ils cherchent à savoir quoi mettre comme musique de merde, et on sait très bien qu’ils vont finir par écouter du rock londonien qui clame la haine du bourgeois et prône la guerre civile alors que tous commencent déjà à gamberger sur leur avenir, à savoir médecine ou école de commerce ? » (p. 15)
« Ils cherchent à savoir quoi mettre comme musique de merde, et on sait très bien qu’ils vont finir par écouter du rock londonien qui clame la haine du bourgeois et prône la guerre civile alors que tous commencent déjà à gamberger sur leur avenir, à savoir médecine ou école de commerce ? » (p. 15)
« Le pire n’est jamais décevant quand on fait l’effort de s’adapter ». (p. 39)
« Il traîne le cadavre jusqu’à la bâche. Le corps ruisselle de partout d’un jus saumâtre et poisseux, de la pourriture liquéfiée.
On dirait un faux tellement c’est un vrai. » (p. 55)
« Il traîne le cadavre jusqu’à la bâche. Le corps ruisselle de partout d’un jus saumâtre et poisseux, de la pourriture liquéfiée.
On dirait un faux tellement c’est un vrai. » (p. 55)
jeudi 18 mai 2017
lundi 15 mai 2017
Et vous, quels sont ces "rêves étranges qui traversent vos nuits" ?
« De drôles de rêves traversent mes nuits et je songe éveillé à des choses inouïes comme ... » devenir un grand footballeur dans l'une des plus grandes
équipes de France ou encore visiter le Grand Canyon et ses paysages
magnifiques, ses vastes vallées, ses roches orangées.
Un rêve qui peut paraître simple aux yeux des autres, c'est de réussir dans ma vie professionnelle, c'est une chose qui compte beaucoup pour moi car trouver un travail dans lequel on puisse s'épanouir devient de plus en plus difficile.
Un rêve qui peut paraître simple aux yeux des autres, c'est de réussir dans ma vie professionnelle, c'est une chose qui compte beaucoup pour moi car trouver un travail dans lequel on puisse s'épanouir devient de plus en plus difficile.
Henrick
***
«De drôles de rêves traversent mes nuits et je songe éveillé à des choses inouïes comme ... » devenir un joueur
de foot professionnel pour faire de ma passion un métier, aller
au-delà de mes capacités, passer à la télé, jouer contre des
équipes mythiques … ou bien pompier pour aller sauver des
personnes piégées dans le feu, aller au-delà de ma peur et faire
preuve de courage : montrer à la caserne entière que je suis
une personne très courageuse … ou encore avoir le brevet, ça me
permettrait de prouver à mes parents que je peux réussir et ça
serait une récompense de tout ce travail fourni pendant mes 4 années
au collège.
Erwan
vendredi 12 mai 2017
dimanche 7 mai 2017
mardi 2 mai 2017
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